Dans un contexte de dépendance renforcé, comment les associations peuvent-elles interpeller les États et ses institutions sur les conséquences de leurs choix économiques, sociaux, éducatifs en somme politiques ? Ne doivent-elles pas être force de résistances, d’autres alternatives, d’autres voies citoyennes ? Quelles capacités de contre-pouvoir ?

Le témoignage éloquent de Nora Kovës, experte des droits de l’homme (Hongrie)
*Réseau Wallon, lutte contre la pauvreté- Lionel Whatelet et Olivier Van Goethem