A l’angle d’une rue vous pouvez vous laisser surprendre par un arbre dans une cour en béton ; par un escalier étroit entre des murs délabrés. Vous pouvez juste tourner et vous étonner de la luminosité qui éclate sur des murs blancs fraîchement réhabilités. Vous pouvez vous laisser surprendre par les multiples couleurs d’une veille ville rajeunissante.

Vous pouvez aussi quitter le centre par les nombreux transports de l’agglomération. Regards curieux  qui vous sortira vers les zones anciennes ou nouvelles :  quartiers en réhabilitation ou en pleine construction démesurée dans le prolongement du port, vers l’aéroport.

De ces couches de bétons nouvelles, de ces immeubles maladroitement réhabilités ou en attente de ne pas sombrer, si l’essentiel était l’enfant, l’homme ou la femme, l’autochtone ou l’étranger.

Et pour tous ces jeunes qui habitent les quartiers s’ouvrir à la mobilité internationale

Villes nouvelles, éducations nouvelles,

Nouvelles générations

New Horizon ?

Pascal Peron