Il me souffle à l’oreille, mais oui au fait c’est quoi les questions qu’on a formulé avant de venir ?

Issues de nos échanges de dimanche au moment de partager ce premier moment collectif, deux questionnements sont arrivés. Il s’agit ici de se les réapproprier et de tenter d’y répondre avec nos interlocuteurs.trices de cette semaine d’étude à Florence.

Je tente ici (de mémoire) une reformulation, qui peut donc être enrichie et retravailler pour chacun…

  1. Nous nous posons la question des secteurs de nos champs d’activité : ceux-ci sont pluriels (école, psychiatrie, travail social, animation…) pour n’en citer que quelques uns… il apparait un intérêt, mais aussi un glissement, au travail « trans » (disciplinaire, métier, compétences…) transversalité avez-vous dit ? Au risque de la dilution de ce qui fait nos identités plurielles ? Ou impératif de situation ? comment se situer ?

2. Dans quelque mois, un Congrès ? dans un contexte de remobilisation sur nos orientations, nous constatons – y compris à l’interne de notre mouvement, la montée des conservatismes de tout bord, des idéologies assermentées au « néo-libéralisme » débridé…, ambiance lourde convoquant aussi les extrémismes d’une population en demande de repères (et notre résistance à ?).

Qu’avons nous à faire, à proposer, à revisiter de ces orientations dans une dynamique de progrès, quand dans le même temps nous devons nous défendre, nous sommes attaquer… Re-nouveler l’éducation active dans le travail social, la santé mentale, l’intervention sociale… qu’est-ce que ce serait ?

A ce propos nous nous sommes encouragés à ré-écouter la conférence de Jean-Louis Laville, sur ce même site !